Quand tu es né
un bout de ciel est tombé
Quand tu mourras le morceau il restera
En mon cœur tu prospères
De ton amour je suis si fière
Le jour où tu naquis
Mon jardin de fleurs s’est rempli
Et les gais rossignols
Y chantent un air qui console
Que ta maison soit bénie
Et l’artisan qui la fit
Car dedans est la gloire
Et dehors par toi le paradis
Tu es dans mon cœur
Pour l’éternité demeure
Ce n’est pas cadenassé
Elle est perdue la clé
Si tu me tiens dans tes bras
Je veux rester contre toi
Une vie toute entière
C’est mon bonheur sur terre
Tu es venu à mon cœur
Comme des affluents des rivières
Tu t’es déversé dans mon cœur
Tu en a fait un océan
Je suis une tu es un
Un et une qui sont deux
Mais nos cœurs ne font qu’un
Sous les bons yeux de Dieu
Hier je t’ai dit aujourd’hui
Aujourd’hui je te dirai demain
Demain je t’aimerai toujours
Tout le temps c’est l ‘amour
260617
Sandrine Coudert
Tdr
Joliment écrit!
Magnifique paradoxe de la naissance dans l’éternité !