La plume en main, ressentant soudainement
le besoin d’évacuer ce vague à l’âme qui m’étreint.
Mon âme écorchée se souille de pleurs,
tandis que mon esprit lui, tant bien que mal se leurre.
La Sainte Lumière de part sa beauté brille,
néanmoins mes idées nonchalantes, elles se vrillent.
Tout mes espoirs disparaissent dans le noir,
le néant imposant sa loi sur mes idées les plus illusoires.
Les incertitudes se multiplient,
la solitude lentement imprègne mon corps en y faisant son nid.
Le chagrin empoisonne mon destin,
au même titre que la joie persiste sans jamais trouver son chemin.
Oh toi gentil bonheur, où te caches tu, brave petit farceur,
j’attends que tu viennes sonner mon heure.
Mon inconscience de sa sagesse me titille,
aimant me rappeler qu’autour de moi la sérénité se distille.
Les maux de la mémoire ne sont qu’accessoires,
la plénitude est la seule trajectoire vers ma victoire.
Le vocabulaire, les mots et la poésie se sont réunis,
avec ces quelques vers, je me sens enfin guérie.
©2017-03oct -Lucie Guittard
Merci Lucie beau et touchant
Mes amitiés
Fattoum.
Très beau poème Lucie.
Très profond, émouvant, et plein d’espoir
Merci pour ce partage
À très bientôt
Amitiés
Bisou
Chantal
Délicieux, de plus l’ajour de l’espérance se vêt…. ce qu’il faut pour vivre
merci Lucie pour Nous tous
Oli