Avant, il n’y avait que toi.
Sois sûr, crois-moi !
Depuis toujours, j’avais
Le béguin, mais je te le cachais.
Tous ces moments ensemble,
Toi et moi en y repensant, j’en tremble,
Même sur tes photos magnifiques.
Telle était notre relation, magique.
Mais la fin a été si tragique…
Un jour, tu m’as quitté
Et maintenant je suis abattu.
Je t’ai cherché,
Mais je ne te plaisais plus !
Tu m’as rejeté
Comme si j’étais de la viande crue.
Pourtant jamais je ne vais pouvoir
T’oublier. Tu m’as abandonné, moi,
Parce que quelqu’un d’autre t’aimait, toi !
Non, je n’en ferai pas toute une histoire.
Tu refais ta vie qui sera d’une durée aléatoire
Avec un autre a l’apparence dérisoire.
La trahison m’afflige matin et soir.
J’ai des maux que je ne vais pas pouvoir
Supporter, peu à peu, m’entraînant au désespoir.
C’est fini, je suis très déçu.
Je ne suis certes ni parfait ni pure,
Mais tu m’avais accepté,
Et moi aussi qui t’ai trouvé
Charmante, d’une fatale beauté.
Fatalité dont je n’avais pas fait attention.
Tes sentiments incertains dont
Quelques-uns étaient des illusions.
Ton amour m’a quand même récompensé
Pour toutes ses larmes d’auparavant dépenser,
Pour éteindre cette flamme intérieure que tu as rallumée.
Soit désoler et je viendrai
Pour te consoler. Je t’attendrai
Dans l’amour et la dévotion,
Jour après jour avec passion.
Chagrin d’amour et espoir d’un retour…
Clair ,net et précis
Ceci est une réécriture d’une ancienne poésie avec des ajouts et améliorations qui la font devenir ce qu’elle est et exprime maintenant.