Jadis est un palais de termites et de gros rats
inoubliables ô rongeurs alliés de mes cauchemars
le temps déroule sa puissante énergie
en vain son pinceau rêve de tableaux blancs
hélas ! le noir est toujours assis à sa table d’honneur
L’espoir se meurt blessé par le chant des conflits
mes jours ont encor des larmes aux yeux
le visage de mes droits est un soleil ensanglanté
il déploie ses amours écorchant ma paix
à hauteur des destins bouffant la peine
Notre paradis du ciel tomba de travers
les chants nouveaux marquent le pas sur place
sur la latérite des étincelants départs
Je brûle au fer rouge les mauvais jours d’antan
loups pilleurs et vautours habiles dehors
du cœur de ma douleur surgit mon nouveau port
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Beau texte riche et subtil véhiculant un vibrant message d’espoir, et que je trouve musical…lu doucement à voix haute.
Après l’avoir hautement à voix basse.
“Je brûle au fer rouge les mauvais jours d’antan
loups pilleurs et vautours habiles dehors
du cœur de ma douleur surgit mon nouveau port” (Et on monte la garde, car ils voudront tdnaces ces “loups pilleurs et vautours habiles”, ‘rongeurs” et intrus revenirs…).
Bravo, Michel.
Michel! Je brûle au fer rouge les mauvais jours d’antan sont aussi les miens mais surgit à présent un nouveau port ,nouvel horizon en chansons que je fredonne qui sont mes nouvelles paroles!bonne journée dans ce nouvel espoir!Colette
l
Larmes des espoirs
Allument le flambeau
Beau regard dépose
Des sourires de rêve.