Parfum au féminin
Suivant le long courant de la rivière
Marchant à travers l’horizon qui prolifère
Un millier de couleur à ce ciel argenté.
Une folle douceur pour un amour lorgné.
Je parcours ce lieu en direction d’un futur
Où avec fatuité mes désirs perdurent
Éternelle excursion au pays où règne
Une fragrance que mon corps s’imprègne.
Ce parfum méconnu était en fait celui
D’une illustre femme, fine et en point jolie.
Une essence infime se dégageait d’elle,
Un bonheur intime dans mon cœur s’emmêle.
Ne pouvant revoir la muse aux yeux verts
Chaque jours je passais, près de la rivière
Pour pouvoir contempler, de mes yeux ébahis
La réminiscence qui éclairait ma vie.
Aldrick M.
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