Que fais-tu petit garçon ?
Si loin de là où tu es né
Dans ces contrées si bien armées
Où vas-tu ?
D’un souffle quelque peu écaillé
Vers ces ambiances oubliées.
Où vas-tu petit garçon ?
D’un pas non franchement décidé,
A croire que tu es destiné
A être perdu,
Quand résonne la vérité
D’un besoin mal famé.
Que feras-tu ?
Lorsque l’ouïe te sera perdue
L’envie en manque d’idée,
Et la belle pensée sans espoir.
Tu te verras dérisoire
Dans un vide bien cru.
Où iras-tu ?
Quand les roseaux seront nus
Et les cloches rouillées.
Le corbeau à l’œil noir
Te guidera sans y croire
Vers la corde du pendu.
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Je souffle et je ne sais que dire..
en espérant qu’une main se tende et qu’un cœur s’ouvre.
J’ose croire encore en humain..
Anne
Des ténèbres naissent la lumière, les hauts et les bas s’enchaînent selon les saisons et le temps, j’aime à penser que la nature et l’art se montre comme des amis lorsque l’ humain ne l’est pas..
Oscar Main Morte
La réponse sera dans l’humain. Tu peux reposer ton épaule contre ou sur la mienne chère Anne.
La réponse sera dans l’humain… Que c’est beau. espérons. Merci à vous Jean-Marie.