J’ai passé sous une barbarie de brouillard de ta promenade
Et le sang coule ainsi très loin
J’ai demandé la route de ces milles mots dans une ambassade
D’une lyre poétique qui me rejoint
Ton amoure me semble d’une mère en deuil
D’une promesse d’un tain
Moi qui a ouvert l’œil
Pour voir celui qui vit sans entrain
Les yeux à moitié ouvert
Mais j’observe les tiens d’un si beau vers
Avec des miroirs qui reflètent d’un monde à l’envers
D’une promesse d’un peu de lumière
Mon chant du corps a prononcé le mot : Je t’aime !
Sans t’écrire des poèmes
Mais j’aimerai voir tes ongles abstèmes
Qui attire L’homme à peine
De dire : Chérie Je t’aime !
Mes éclats des mots murmurent ma poésie engagée
Pour ma femme que j’aime sans barème
Le fil de mes pensées m’a attiré
Le premier regard d’une image poétique en chrême
J’ai écrit ses mots pour être nu entre tes lettres
Pour être satisfait de cet amour terrifiant privilège
D’une chambre donnait d’un jardin plein des roses qui apparaître
Sous des arbres ainsi sacrilège
J’offre de bougies pour éclairer ta nuit
Par une douce mélodie d’un son sacrilège
Mais je serai assis pour te souhaiter une nuit
Pleine de la passion d’un amour et d’un chemin sans pièges
La vie sans espoir n’a qu’une pensée négative
N’a qu’un chemin d’or sans sièges
Mais je serai-là d’une douce lueur pénétrante
De te dire que t’es charmante