Dans mes chemins parcourus je n’ai rien reçu
Qui m’ait plus émue que ton sourire tendu
Du bout de ce nuage abritant ton jeune âge
Et créant tant d’ombrage à d’autres langages
Rien ouvert de plus cher que ce clair mystère
D’une chair sous tes paupières enfin devenue mère
Rien touché de plus doux que ton crâne si mou
Posé là dans mon cou sans plus de garde-fou
Rien goûté de plus chaud que ton souffle au repos
Sur ma peau frémissante et déjà prête à tout
Sans plus de mots si beaux pouvant en faire écho
Que depuis, je te l’avoue, tu me suis partout
Beaucoup de tendresse
dans ce poème
instant magique
Merci pour ce beau partage poétique Martine, que de sentiments, d’émotion et de souvenirs . . .
C’est un grand plaisir de vous lire et de découvrir vos textes.
Amitiés,
Alain
Bravo Martine pour ce beau poème <3 <3 <3
Bravo Martine pour cette maternité qui émeut mon cœur de mère…