Mes filles devenues presque femmes – Gilles Baychelier

Ce n’est pas le temps qui me fais de la peine
n’y de plus avoir 20 ans
c’est de plus entendre le rire de mes enfants
mes filles devenues presque femmes

trop vite les années ont glissées passées
je n’ai pas eu le temps de profiter de ces moments
comme un père attentionné

ma séparation a été lourde de conséquences
mon absence de contact
quand elles avaient besoin de moi
ce n’est pas la voix qui résonnait au téléphone
qui me remplaçait physiquement

je ne voyais pas passer le temps quand j’étais avec elles
au fond de mes yeux ma vie rayonnait
en sachant qu’un jour elles s’éloigneront avec d’autres choix

ce n’est pas du sang qui coule dans mes veines
c’est juste le rire de mes enfants

ce n’est pas le temps qui me fais de la peine
n’y de plus avoir 20 ans
c’est de plus entendre le rire de mes enfants
mes filles devenues presque femme

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