Déjà l’herbe assoupie s’éveille à la rosée
Comme vos lèvres si pâles sourient à la clarté
Envolés les échos des heures tristes obscures
L’aube arrive lumineuse apaisant la froidure
Et le temps matinal à la porte frappe encore
Des années à venir font cortège à l’aurore
Coriaces certitudes forteresse d’espérance
De moments animés par la douce présence
Et le chant d’un oiseau dans le lointain s’entend
Annonçant le matin que l’univers attend
Déjà l’herbe assoupie s’éveille à la rosée
Comme vos lèvres si pâles sourient à la clarté
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©Val Réval – 30/05/2020
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Doux, frais et plein d’espoir…
Très beau poème Val
Amitiés
Chantal