L’ombre – Mamadou Sy

Dissimulé par la nuit
Je songe et gamberge d’envie

Autour de moi des formes en mouvement
Leurs visages affichent le néant

Seul leurs corps trahissent tant soit peu leurs sentiments
Noyé par la fournaise des ressentiments

Je me persuade, j’acquiesce et je me mens
Et si on était différent

En attendant, je me sens..

Comme une ombre
Attaché au vivant et pourtant si sombre
Quand les ténèbres s’éveillent, je disparais dans la pénombre

Noir et ombre est un comble
Sans cesse partagé entre deux mondes
Face à la lumière, je succombe

 

Mamadou SY

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