L’oiseau de feu
Envolé l’oiseau de feu
Tu n’es plus amoureux !
Peut-être était-il temps
Depuis si longtemps ?
Stressé constamment par sa présence comme par son absence
Ne maitrisant sagement ton temps il t’était omniprésent !
Perturbant ton rapport au présent
Tel celui d’un enfant !
Mais alors était-ce mieux avant ?
Quels sont tes espoirs maintenant ?
Ainsi se poursuit ta vie
Faite d’un déroulé sans grande envie
Plus calme en vérité
Ce que tu es incapable de bien profondément apprécier
Toi l’amoureux de l’amour
Pour deux
Depuis toujours
Victime d’avoir été victime de tant d’oiseaux de feu
Insatiable, vulnérable
A ces coups de foudre venus de cieux toujours pour toi plus dangereux !
Et déjà je te vois priant son retour
Pour prolonger ce dernier amour… pour deux !
Ayant dépassé 80 ans, Rémi Guillet voit dans son rétroviseur 40 années consacrées à la recherche de chemins pour améliorer l’efficacité énergétique et écologique de la combustion des énergies fossiles et a souvent publié les résultats de ses travaux, travaux jamais véritablement abandonnés puisque l’hydrogène a récemment pris le relais dans ses préoccupations consacrées à ce thème.
Sa retraite venue au début des années 2000, il entreprend également des travaux universitaires « pour plus d’équité dans le partage des richesses produites par l’économie libérale ».
Dans le même temps, il consacre une part de ses activités à diverses formes de bénévolat, en associations ou en EHPAD et développe à cette occasion une méthode en aide à l’apprentissage de la lecture de la langue française.
En 2015, il écrit ses premiers ouvrages « littéraires » et son premier poème intitulé « Merci à nos sens » … (Cf. Rémi Guillet / Ed. Mers du Sud).
Voir (/ NET) "Rémi Guillet bibliographie" pour accéder à l'ensemble de ses publications.
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