Prenez-moi pour un fou, je sais ce que je vois.
Dans mes vers translucide, je ne suis pas voyant
Mais au château de mon royaume juste le roi
Mes grands rêves lucides se réaliseront si j’y crois.
L’oiseau poète hybride n’y tracera jamais de croix
Attendre des heures, l’amour réchauffe contre le froid
Les âmes ne se rident, la déception d’un oiseleur.
Quand il repart avec son colibri appât
Personne ne me fera peur, et quelques mots font mon repas.
Amenez l’effaroucheur, de moi il se rappellera.
Par volonté du créateur, mes ailes tiennent dans les airs.
finit par une fleur, la graine est sans cercueil dans la terre.
Avec toutes ses couleurs, on la cueille pour faire plaisir à notre cœur.
83 L’oiseau aime les graines et l’Homme les fleurs © fou.