Je vis dans une métaphore décalée et fantaisiste pour échapper au brouillard, comme un joueur de billard qui s’échappe également lorsqu’il veut quitter le jeu invoquant certaines raisons et des faux problèmes créant une atmosphère tendue.
Je fume la bouffarde noircie.
Fêtant la flotte des cauchemars.
Ici, sur le lit de mes soucis…
Mon humeur raconte des bobards :
Tasse d’angoisse bu par l’oubli.
Et des fumées forment un brouillard.
Le temps redit mes mots et les lit,
Un dé bavard, jeté au hasard.
Le silence abandonne ses traits.
Ouvre dans mes idées, un bazar.
D’illusions, peignant un portrait,
Dans le décalé galerie d’art.
Une nuance affamée de suite.
Des évasions aléatoires.
J’espère trouver l’accès de fuite.
Plus tard comme l’escroc de billard.
Dans l’abri vide, Il vit en faillite.
Tôt, il veut restaurer sa gloire
Il rêve et pense qu’il la mérite.
Cherchant à provoquer des bagarres.
Tôt ou tard, l’aube se lèvera,
Ouvrant la grande porte à l’espoir.
Tout le brouillard se dissipera,
Tout est clair, bonjour, nouveaux devoirs !
Saber,l’aube se lève pour laisser place à l’espoir , c’est ainsi qu’il faut voir la vie, elle passe tellement vite, qu’il faut en profiter et toujours garder l’espérance du lendemain ,bonne soirée à vous Colette
Bonjour chère Colette,
La vie est belle malgré ses difficultés et ses défis et elle devient plus complexe si elle est dépourvue d’un rêve réalisable ou d’une bouffée d’espoir.
Merci pour votre commentaire.