LES JARDINS CACHES
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Une fenêtre ouverte
Un rideau qui retombe
Le rire d’une petite fille
Croquant dans une pomme.
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Le sourire d’une femme
Que l’on ne connait pas
Heureuse d’être belle
Et belle d’être heureuse
On voudrait retenir
Son image irréelle
Qui laisse en souvenir
Son parfum derrière elle.
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Ce n’est que le passage
D’un rêve qui vous trompe
Ce n’était qu’un mirage
Qui lentement s’estompe
Et les jardins cachés
Préservent leurs secrets.
©Gustave Djibee
CONTENT!!!! d’avoir lu quelque de simple et de frais
Merci Gustave, et continuez à écrire des vers où vous n’êtes pas content, d’autres seront content de les lires!!!!!!!!!!
PAS CONTENT !!!