là se repose ton soupir,
virgule au point du coeur,
cette figure arythmique
du sens interdit de tes lèvres,
j’y dépose les cendres,
d’ébats et d’abats de nuit,
je déroule tes bras,
apostrophes de mon coeur,
mes yeux ivres se détachent,
tes mains folles me rattrapent,
et les mots glissent agiles
au sens interdit de nos lèvres.
Plein de sensualité dans vos mots, et en passant, très belle photo.
Anne
Merci pour ce beau texte qui exprime a la fois le louvoiement du jeu amoureux’ le sens interdit et la limitation de vitesse. C’est le Code dd la route amoureuse… Quel condensé ! Au plaisir de vous lire Thierry
Quelle joie de retrouver ton écriture si belle qui glisse sur le papier mon ami Thierry !
Merci pour ce merveilleux partage et nous avons hâte de découvrir d’autres textes . . .
Mes amitiés,
Alain
Merci, cher ami, pour ce généreux partage. Le sens interdit aux curieux, serait-il un sens obligatoire au poète ?
Cordialement.