À pied de poète,
Il faut être fou sans être peintre.
Pour dépasser les plus grands maîtres.
Du vent à la brume,
Le poème s’en va par la fenêtre.
Il s’envole comme une plume.
Les mots se font en mètres.
Un petit point vaut une enclume.
L’émotion que l’on fait naître
Va partout dans le corps.
De l’amour contre le froid
Rien ne la touche même la mort.
Atterré d’une couette et dessous un drap
Dans le temps, le sentiment se fait fort.
Souffle dans mon Coeur, au fond il viendra
Les années derrière, sont passé sans effort
55 L’amour ne meurt pas ©fou.
Je m'appelle Gojif Fouad et je vis à 5 minutes d'où je suis né, dans la ville de Troyes, à l'est de Paris. J'ai d’abord eu peur des mots et de leur sens,
les énoncés à l'école étaient déjà un défi pour moi. Je me suis donc orienté vers un cursus scientifique et à la trentaine, j’ai trébuché par hasard dans le monde de la poésie, en l'occurrence celui des poèmes. Une amie espagnole avait besoin d’aide pour traduire un recueil Espagnol en français, c’est donc en cherchant des mots pour elle que j’ai entendu la musique de mon âme ; une forme de folie qui criait depuis toutes ces années au fond de moi mais l'oreille de mon cœur l'a tardivement écoutée. J’ai écrit mon premier poème en 2014. Pour ne pas dévoiler mon identité je signais '' fou.''
... Et des poètes sur ce site littéraire m'ont surnommé « Poète fou. »
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