Je n’ai pas su me décrire, mais elle a réussi
J’ai fait quelques phrases, j’ai simplement écris
Elle les a défaite, puis les a comprise
En poésie de vie , elle cherche des images
Comme dans un voyage, je sais qu’elle apprécie
Pour voir satisfaite, sa plume tout en finesse
Dessine en largesse, il en faut du savoir
Elle esquisse mes traits, devine ma jeunesse
Me voir en portrait, exquis de politesse
Et mes maladresse, touchent toutes à son aise
Moi tout à mon aise, j’ai reçu adresse
Une vrai poétesse, elle à su m’imager
Et dans mes pensées, je sais qu’elle s’est nagé
Et moi j’imaginais, que mes mots me cachaient
Son art de la magie, j’en souris encore
Prédit mon sourire, elle est vraiment forte
Son charme immortel, lui restera présent
S’empresse en arme chargée, sa beauté suit de près
Une jonquille isolée, dans un pré sans ses sœurs
Un nuage d’amour, à l’heure du rendez vous
Flotte au dessus des bancs, dans un ciel de mauvais temps
Sur terre un arc en ciel, souriant à l’univers
Ou une fleur de safran, perdu dans un désert
Quand j’y pose mes lèvres, alors un verre de lait
Je la vois en fusée, le monde veut embarquer
Avant son départ, son voyage fait rêver
Pourquoi pas un soleil, et puis moi la lune
A l’heure de dormir, je la couvre d’amour
Sa lumière s’éteint, j’éclaire à mon tour
Je pourrais continuer, comme cela toute la nuit
La pruderie de cette dame, et son romantisme
Sans un état d’âme, me rendrait abrutis
Poète fou (La voie des roses) le 16/11/15
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