Hauts murs uniformément blanchis à la chaux,
Me faisant écran du monde mais non du bruit,
Du fourmillement de la vie qui déjà tôt,
S’agite jusqu’aux clameurs très tard dans la nuit.
Un parasol pâli par un soleil trop chaud,
Des hibiscus dont les fleurs pourpres fleurissent
Si nombreuses, si belles, attirant les oiseaux,
Quelques bourdons, des libellules qui bruissent.
Voici ce simple décor, c’est ma cour,
Où mes rêves m’emportent loin de ce pays,
Les murs disparaissent et mon coeur est moins lourd,
Le ciel de porcelaine me fait rêverie…
©Simone Gibert
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Merci Christian Stagé ! Merci Plume de Poète !
Merci infiniment Christian Satgé !
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