Je n'ai pour toi, si belle au regard De feu, ni la folie ou la hardiesse Ni le courage, je te le confesse Devant toi je reste pantois, hagard
Aujourd’hui comme hier je pense à toi
Tes gestes et ton sourire solaire
A la rencontre de tes mystères
Mes sentiments enfuis, mes désarrois
Je n’ai pas, si belle au regarde de feu
Le courage de te les avouer
Alors que ceux-là furent secoués
Mes sentiments pour toi : ce sont mes vœux
Un souvenir dans un coin de tête
Mon regard qui s’est perdu dans tes yeux
La passion qui s’est mûe en Adieux
Si belle inconnue, mon Graal, ma quête
Belle inconnue que je croix connaître
De tes pensées s’éloignent peut-être
Tes soucis ou l’ombre du désespoir
Quand tu vois l’arc-en-ciel dans le miroir
Alors quand vive la lumière
De l’espoir ou du bonheur retrouvé
A ne pas rester à la lisière
Proche de nos sentiments mystifiés
Maxime D