Sur les haies en bois et les buissons épineux.
Sur les branches d’arbres ou sur les Cendres
Sur les ruelles, et les issus bitumineux.
Comme l’oiseau blessé je poursuivrai ton ombre.
Ton ombre qui se profile parfumant les lieux
Il sent, le jasmin suit l’odeur de ton spectre.
Je suis le rameur dans les fleuves sinueux.
Rodeur du panorama sur le méandre.
Des vestiges de ta beauté, comblerais mes yeux.
Comme un cerf au pelage épais et plus sombre.
Vois passer sa biche affamée devient furieux.
Ou comme une gazelle souple et belle dans ses yeux.
Se laisse aller après son mâle, se fait, prendre
L’envie de voir tes beaux vestiges voluptueux.
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