C’était l’équinoxe
Le ciel était clair
Immensément clair
Et les astres plus brillants
Les uns que les autres.
L’envie me vint d’aller sur la lune.
Vénus m’attira aussi
Mais c’était un peu trop loin.
Alors, je m’assis face à la mer
Pour regarder tourner la terre.
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©Martial Havel – 12/03/2019
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Simple, court et efficace, un petit poème choisit avec de beaux mots, léger et agréable comme on les aime. Sans prétentions, invitant à la rêverie accompagnée du rêveur qu’est le protagoniste.
Joli petit texte désabusé… J’aime beaucoup l’humour décalé que je crois y sentir. Bravo et merci pour ce partage.