Crier toujours ton nom à tout l’universel
L’amour Pantagruel, cela sonne a revers
La vie ne sourie pas couleur aquarelle
Tes mots mon appelé, plus loin que les serfs
Toi qui as su tendrement voler sur mes pas
Et doucement prendre mon cœur dans tes bras
Apaisée, mon âme endormie sur l’autel
Que demander de plus, quand l’amour appelle ?
Et crier ton nom en déployant mes ailes
Crier de tout mon cœur cette vérité
J’ai cessé d’être ermite ménestrel
Si je prends, si je perds l’air de la tendresse
Au bord, as-tu épousé la vie ou la mort ?
Éprise de l’insensé, l’amour au dehors
Le cœur sans commande au plus lumineux
Scintille, philosophale pierre en feu
Mélodie des sirènes en écho pour les cieux
Harmonies s’égalisent en refrain pour les dieux
Le merveilleux de nos coeurs au même rythme
Au présage de l’ère bénite en schisme
De l’océan né du côté Pacifique
Magnifiques saveurs anoblies magiques
Bonheur mystique d’une lune en abstraction
Je lâche ma plume un instant en vacation
Bien quelle soit annihilée, reste en âme perdue
Axe de la nuit sans nuances et souvenir
Restant épris au côté du romanesque
Crier son nom en fantaisiste arabesque
Pour en hurler son prénom à tout l’univers
En conjuguant de tous les temps le même cri
En donnant un sens péjoratif en revers
Et le don de savoir aimer à l’infini.
´´écris de laura joannidis les 09-09-2014@droit d auteur