Commentaire 4 – Yves Abona

, ô mon Dieu, vous êtes l’amie d’une Muse !

J’ai  le verbe fondu dans votre lumière diffuse.

J’arrive à peine, vous avez des mots pour nommer

Le caprice de l’être humain et pour asseoir

Le juste vers aux côtés d’un humble espoir :

Qu’ils sont aimés, ceux qui sont dans l’humanité.

Et donc, pas plus utile que le vœu de servir,

Ô poétesse, pour prendre le bien et le faire saillir !

Un bout d’âme ou une frêle étincelle au hasard,

Sera l’égal en argent de toutes les sommes.

Car avec un bout de raison, on vit en homme.

Trouve donc ainsi ton bien, à tout bout de regard.

 

© Yves Abona – 06-11-2017

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3 Commentaires
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Invité
3 février 2018 19 h 38 min

Chaque vers, trempé dans l’humain, nous renvoie cette touchante profondeur!
Merci poète pour ce moment unique et beau!
Adrien.

Invité
3 février 2018 18 h 51 min

Merci pour vos écrits.
Je considère ceci…