Privation du sensible
Empêchement de se lier
Un ailleurs invisible
Un horizon refermé
Un fumée une lueur
Pour la vie s’imaginer
Tous ces instants qui tremblent
Toutes ces émotions nouées
Et ce malin qui rode
Ces solitudes par milliers
Comme une discrète vérole
Par un souffle portée
Rien qu’avec toi le vivre
Cela j’avoue j’aurais aimé
Merci, pour ce partage !belle déclaration