Les Poèmes Courts Espace Poésie
Je te couvre de caresses. Ma fleurette câlinée Faîte de joie et liesse La finesse raffinée ! L’icône de la tendresse De nos cœurs passionnés Par ta douce gentillesse, Tu m’as beaucoup attiré Entre les fleurs, ma princesse Quand je t’ai vu, flâner L’excellence et l’altesse Baladant en randonnée. La lune de joliesse ! En … Lire plus
Une science sans esprit serait un peu comme un corps sans âme. Les plaisirs charnels sans les sentiments et toute l’émotion seraient tel une débâcle corporelle.
Raconte Raconte moi le monde Dis moi comme il est beau La couleur des soleils, Les aubes embrumées, Et les parfums secrets Des matins de rosée. Et les gens. Raconte moi les gens, Dis moi comme ils sont beaux. Le regard mystérieux De ces femmes voilées, Les enfants aux yeux noirs Se baignant … Lire plus
L’huile ruisselle et luit Volent des mouches ©Lucienne Maville-Anku, 20/11/20, 07 :50
Il passa tant d’ heures à brosser, à peindre ce portrait et si déçu par le résultat final que de dépit, il mît la toile au feu. Au dépit, s’ ajouta la colère qui finît de mettre cette huile sur le feu. En définitive, cette croûte selon lui, n’ offrirait pas le pain à sa … Lire plus
La Poésie est pour moi Présence qui accompagne Qui me porte sur ses ailes © Lucienne Maville-Anku, 15/11/20, 08 :20
L ’ homme pressé Oublie le passé Sillons de vitalité Absence d ’ âme . L ’ existence grince L ’ embrun de rêve Réveil de l ’ ivresse L ’ être est debout. ©
Un lieu immobile Impermanence vacille État de jubilation Sidération s ’ installe. Confiance des mots Libère de l ’ amour Visage d ’ argument Croise les regards . Être saoul d ’ éveil Conjugue le temps.
S’envole l’oiseau Libéré de sa cage À moins qu’il ait appris À ne plus s’en dégager S’envole l’oiseau Libéré de sa cage Pour être désormais Libre ou captif De sa liberté ©Lucienne Maville-Anku, 18/11/20, 07 :09
Albion, toi, haut et fier le fanion Que ne te doit on pas en ces jours qui semblaient sans illusions De n’ être pas des pions maintenant, car Comme Saint Georges qui terrassa le dragon, tu boutas des airs les morpions. Albion ! Ton nom sera toujours pour moi mille évocations car à coeur vaillant, … Lire plus
Furtivement, effleurée, Rien qu’un peu touchée, Onde dans un couloir, La caresse d’un bonsoir, Étreinte si fugace, Ma Voix entrouvre sa carapace. Elle m’enchante, sa voix, Ne sourit d’évidence qu’à moi. Tellement, tellement proches… Saisirais-je un jour le coche ? Jeudi 17 septembre 2020, Boulazac, 7h18.
Je vis Et meurs chaque jour Crois et décrois Décrois et crois Cependant ne vis-je Ni pour la mort Ni pour sa nuit Mais pour la Vie Et pour son jour Chaque jour Je vis © Lucienne Maville-Anku, 16/11/20, 00 :40