Hurle, le vent du nord,
Souffle des démons,
de toute part,
le blizzard m’entoure.
Glacé, mon coeur pleure des cristaux,
se couvre de ténèbres .
J’ai peur, des rafales de haine,
de la guerre qui couvent la terre,
de ces nuages gris aux couleurs d’acier,
de ces monstres qui se déchaînent.
Je veux le printemps,
Blotti, comme un oiseau dans son nid,
auprès de toi, je cherche le soleil.
Luciano
Merci Luciano pour ce moment
Vous avez su murmurer l’effroi
mais aussi l’espoir…. ce qui hélas souvent manque dans les poésies
‘Toujours l’aisser une fenêtre ouverte pour que l’oiseau s’envole ” narrait Boris Vian
pour que le lecteur ne broie pas que du noir au dernier vers! Merci