Encours.
Sommeil d ’ artifice
Promet une fusion
Flash des énergies
Entend des envois.
Lieux des luisances
Envoient beau hasard
Le repos du temps
Gouverne une durée .
L ’ être est , le non – être n ’ est pas
En éventail des situations de vie
Des combinaisons de la conscience
Engendrent des floraisons d ’ ampleur .
En satisfaction des futurs lointains
Soulever des lignages de regards
Au plaisir de toute considération
Des grâces de faveur de fortune.
J O P A (1) De valse .
Fleurs des regards
Habillent la cérémonie
Corporelle scansion
Ondulation des arts.
Enflammer la vasque
Relayeur d ’ éternité
Au pharaonique projet
Une parade starmania.
Valse des billets
Livre des trajets
Coulisses déposent
De futurs résultats.
Rythme se maquille
Manège en cours
Ciseler le parcours
Plie heureux ballet.
Ailes des Jeux
L ’ entente lustrée
Imaginer navigation
Soins de médailles .
Appui du collectif
Envoie la sensation
Au cœur de Paris
Stade des miracles.
Charnelle mêlée
Maîtrise l ’ enjeu
Frisson de songe
Endort le maul.
Parole du paradis
Ancre les espoirs
L ’ émotion chavire
D ’ élégante poésie.
Jeux Révolutionnaires Paris.
Sans enlever au baron de Coubertin la place qui lui revient dans l’histoire des sports modernes,
on ne peut cependant pas sous-estimer les tentatives pionnières de restauration des Jeux.
Parmi celles-ci, les Jeux de la fondation de la République, qui se sont tenus de 1796 à 1798 à Paris,
constituent une expérience originale. Rassemblant plusieurs centaines de milliers de spectateurs,
ils représentent une étape négligée de l’histoire de l’olympisme.
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