Au de-là des guerres que reste –t-il ? Rien que ce vide
Rien que des ruines dévastées cédées à la terreur
A qui profitent ces massacres ? A qui ces génocides ?
Les animaux sont humains ; les humains prédateurs.
Ces guerriers sans âmes débordés par la haine cupide
Assoiffés de sauvagerie semant plus de malheurs
Ces humains inhumains , leurs méfaits vains et avides
Au de-là des guerres que reste –t-il rien que ce vide
Laisser le temps se reposer, estomper ses rides
Lui donner un avantage, retrouver son bonheur
Que reste -t –ils de ces conflits meurtriers et stupides
Rien que des ruines dévastées cédées à la terreur
Y aurait toujours un compromis final et lucide
Laissant derrière, remords, culpabilité d’erreurs
Faisant des reproches alarmants à ces faits morbides,
A qui profitent ces massacres ? A qui ces malheurs ?
Seul le temps pansera ces blessures, seront valides
Un temps qui hâte pour la paix, pour stopper cette horreur
Pour calmer les douleurs vulnérables et fétides
Afin que les humains soient humains, et non prédateurs.
Au de-là des guerres que reste –t-il ?
Malik
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