APPRENDRE L’AMOUR AUPRÈS DES FEMMES !!
Aurait-il fallu rire
Quand mon fusain de rimes
Voulut que se dilue
Son âme en souvenirs
Des femmes sur la cime
Des émois qui saluent
Ma voix comme une lyre ?
Oserais-je les grimer
Ces sourires gracieux
Et ces yeux qui me crament
En voulant élimer
Mon dessin malicieux
Qui fuse comme un drame ?
Quand le jeu vous prend
O Femmes d’un poème
Vos flammes me grillent
Suis à feu et à cran
Vous voulez que je sème
Pour vous des vers qui brillent
Mais ma voix est bien rustre
Quand d’ici je vous vois…
Pas de roman pourtant
Et je vais sous les lustres
Tramer toute ma joie
Dans les remous du temps
Myriades de désirs
Envahissant mon cœur :
Ce miroir désarçonne
Mais il vient au plaisir
Sans aucune rancœur
O Miracle qui sonne !
N’être pas évasif
Arracher le remord
Araser tout Pouvoir
Sans demeurer lascif
N’être celui qui mord
L’amour et son savoir !
Texte mélodieux, fait songer à un parolier, magnifique quitte à etre mis en chanson
Merci beaucoup de la suggestion ! Votre plaisir d’avoir lu ce poème me réconforte et me renforce dans mon désir de peaufiner la musique de mes poèmes sans rien lâcher de l’enfilage des métaphores !
Bravo mon ami Alain superbe poème.
Merci de me faire savoir le plaisir que vous avez eu en lisant ce poème ! A bientôt Fattoum Abidi ! Toute mon amitié !