A ngoisse lorsque tu t’empares de nous , tu nous désarmes, escalade vers la profondeur de l’ascension,
N e pas se laisser attirer par toi, ne pas te suivre , ne pas te céder, faire diversion,
G ouvernant sur notre vie même si quelquefois cela tourne à l’obsession,
O h! Non, ne plus subir ton obédience, ta dépendance, ta soumission,
I mpression que tu nous domines mais nous irons jusqu’à provoquer la scission,
S oulever par ta lave qui bouscule qui met nos sens, sens dessus, dessous, tu mets nos émois sous tension,
S ortir de tes griffes, s’évader vers d’autres horizons par les mots lorsque de nous tu prends possession,
E garement provisoire, si je regarde dans le vague en m’accrochant aux vagues,
nous lutterons contre toi Angoisse jusqu’à t’ignorer et te nommer répulsion,
©Beverly Lise
Un acrostiche à l’honneur de l’angoisse, qui ronge la société d’aujourd’hui, où l’homme avide, n’est que ce qu’il a et non ce qu’il est profondément. mes amitiés.
Bonsoir, merci pour votre commentaire, oui , il y a une super nuance entre posséder et être. … large sujet à débattre de nos jours…. et à réfléchir. … Amicalement poétiquement. Lise .