ALEP
Alep noyée sous les bombes
Il n’y a plus de familles, ni une vie
toute la ville est effondrée
Sous le bleve, on marche encore
Voir un enfant rescapé pleurer
à coté du mur écroulé
voir la poupée éventrée
Sous le bleve, on marche encore
Deux vieillards assis se plongent dans le passé
se racontent le temps d’antan
le printemps de la vie sentit le parfum des fleurs
Le rire et les chants d’un peuple vivant
Voir la ville écrasée, un enfant rescapé pleurer
À coté du mur écroulé
Voir la poupée éventrée
Tout ce manque de rire et des chants, on marche malgré
Ni remords ni regrets les infidèles exhibés
la puissance les a aidée
Voir un enfant rescapé pleurer
Voir la poupée éventrée.
L’enfer s’est abattu sur Alep
l’impuissance humanitaire m’effraie
déchu
Voir un enfant rescapé pleurer
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Continuez d’écrire pour que la barbarie ne gagne pas ! Chaque mot, chaque indignation , chaque poème est un pas vers ce qui élève . C’est une honte que les nations laissent tomber ce pays ! Un scandale !