Le stylo est une arme silencieuse pour une guerre paisible que la foudre bleu tonne, tueuse d’armée ma poésie est de mise
Pour une mission meurtrière, maitre dans l’art de l’explosion sensuelle
Je caresse de tendresse cette feuille blanche comme les neiges éternelles
Mentalité d’ogre métamorphosé en homme acceptable qu’il reste en paix
J’ai des haines atroces qui ruminent dans mon for intérieur et veulent s’échapper
Je dois contenir au pix d’un effort redoublé cette choses dans mes entrailles
Mais je ne crains pas la bête chaque jour j’y veille chaque jour je travaille
comprend l’important de la grâce d’une plume sur l’eau et son étanchéité
Au crachat du sinistre crapaud qui voudrais être le roi sur l’échiquier
qualité estampillée street je laisse leurs mauvaises idées les perdre
Et reste sage comme l’homme noir qui repense le monde ancestral près du cèdre
La mer de sable où j’ai parcouru chaque grain pour gravir mes propres épreuves
Est comme une déesse terrible dans le souffle de ma mémoire veuve
Depuis que j’ai compris que Dieu m’a abandonné pour faire de moi un soldat sans tête
Capable de terrassé les archi-démons à l’orgueil difforme et de tenir en laisse la Bête
Je suis dans les marais de Lerne et je manipule l’hydre a cinq tête pour jouer dans la pénombre
Avec les ténèbres en ombre chinoise, j’ai 8 ans je suis passé maitre dans l’art des formes sombres
Et je sabre le capuchon de mon bic pour boire sa racine l’encre noir du sein des tourment quel délices
Quand l’engin est vidé de tout son sang je trouve des poisons pour ma sarbacane et traque leur pistes
Je suis un tueur expert du Headshot capte ma concentration tapis derrière la frondaison
Je tire sans raison dans tout ce qui bouge et tout ce qui bouge pas, c’est la morte saison
On s’ennuie tellement, que la feuille blanche est devenu le seul terrain de jeu pour des décors d’enfant
J’ai 43 ans et je joue toujours avec mes doigts plein d’encre sur les murs du réseau à écrire mon blase en grand.
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merci beaucoup promis je garde le stylo et la page. bon week end à vous Anne
La mer de sable où j’ai parcouru chaque grain pour gravir mes propres épreuves
d’autres comme moi, on ramassé les briques des murs explosés. j’en ai assez pour construire une nation. Gardez le stylo et la page pour écrire.*beau texte.
Bravopour ses mots