Un jour, mais on ne sait pas quand, il faudra partir.
Quitter alors les siens pour ne plus revenir.
Aller vers ce bel endroit lointain : le Paradis.
Y retrouver de la famille et des amis.
Pourquoi pas aussi nos chers animaux familiers
Qui ont été près de nous durant ces années.
Un jour prochain, je ne sais pas quand, je m’en irai.
Mais je vous rassure tous : je ne suis pas pressée !
J’ai tant de choses à ranger, à écrire, et à faire
Que ce n’est pas demain que je vais quitter la Terre.
Je veux, longtemps, voir grandir mes petits-enfants.
Rattraper le temps perdu avec le plus grand.
Et si la chance est là, connaître enfin le bébé
Tant attendu, tant espéré de mon fils aîné.
Dans des années, moi aussi, je m’envolerai
Pour retrouver ceux que je n’ai pas oublié.
Ceux dont le doux souvenir est en moi, à jamais.
Ceux dont la longue absence est si dure à supporter…
En attendant, continuez d’écrire car c’est agréable de vous lire. C’est réconfortant de voir que nous avons les mêmes pensées, les mêmes espérances …
Bonjour, en effet un sujet qui nous touche toutes et tous! Mais le plus tard possible!
D’ailleurs vous l’évoquez dans votre poème! Amitiés poétiques.
Odile partir dans cet ailleurs où l’on obtiendra le meilleur ,oui mais ne soyez pas si pressée tout arrive à qui sait attendre et il vous reste encore des choses à accomplir ici-bas!je vous embrasse ,bonne journée Colette
Très beau texte Odile, j’aime beaucoup !
Merci pour vos partages poétiques que nous apprécions à chaque fois.
Bonne continuation !
ALain