Un Grand, reste un Grand ! – Brahim Boumedien

Un Grand, reste un Grand ! -Brahim Boumedien

 

C’était plus qu’un ami, il était un Frère

Lui qui a fait preuve d’une amitié sincère

C’est sur les bancs du lycée que l’amitié est née

Cette longue amitié qui ne s’est pas fanée

 

Nous allions au stade voir ensemble un match

Grignotant et riant, sans qu’aucun ne se fâche

Les années sont passées et devenus adultes

L’amitié solide est devenue un culte

 

Rien ne laissait prévoir un départ vers les cieux

Au moment où l’espoir faisait briller nos yeux

Mais Dieu, notre Seigneur qui t’invite chez lui

Prendra soin de ton âme dans son beau paradis

 

Tes enfants et leur mère, fiers de ta valeur

Entendent ton message qui apaise leur douleur

Ta présence ils la sentent et tu es toujours là

Un Grand reste Grand, un Grand ne s’éteint pas !

 

Deux grands amis sont partis en un an d’intervalle

L’un et l’autre sont sortis de cette vie infernale

Nous les rejoindrons tôt ou tard pour une vie meilleure

Celle que pour nous, aura choisie le Seigneur 

 

Brahim B.

Brahim Boumedien

Brahim Boumedien (641)

- Diplômé de l'Ecole Normale Nationale d'El-Harrach - Formateur (Education Nationale et Formation professionnelle) - Ancien professeur de Techniques de gestion et de Techniques d'Expression - Ancien professeur à l'ENNET - Ancien directeur de collège. S'occupe actuellement de recherche pédagogique (lutte contre l'analphabétisme, en particulier)
Site Web : https://pedagotec.e-monsite.com

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6 Commentaires
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Isa Soares
Membre
20 février 2023 16 h 32 min

Un joli poème pour un grand poète! merci cher ami Brahim! Un beau partage que celui ci
Une belle fin de journée et une excellente soirée que je te souhaite cher poète . 😘💋
Isa 💖

Jean-Marie Audrain
Modérateur
18 février 2023 18 h 52 min

Toute âme a droit au repos éternel et toi en ta sérénité terrestre en retour.
Le Seigneur veille aux deux !

Guy André Talon
Membre
18 février 2023 16 h 30 min

Louis Amade écrivit pour Gilbert Bécaud une chanson intitulée “L’absent”. elle commençait ainsi : “Qu’elle est lourde à porter l’absence de l’ami/L’ami qui tous les soirs venait à cette table”…