Quand l’été est insoutenable
Et tes avances sans un mot
Et mon corps vulnérable
Les heures, les secondes sous repos
Ton avenir est insatiable
Son odeur fine, excécrable
Ton désert est un mirage
Ton espoir devient sauvage
Puis soudain je m’éloigne
D’un visage qui comprend
Et pourquoi aussi peur
D’une fin où l’on m’attend
Le plaisir d’une fleur
Qui éclaire ou qui meurt
Mais où es-tu bonheur?
Je n’y accède par peur
Où un jour tu reviens
Et demain tu t’éteins
Que t’arrive t’il aujourd’hui ?
Quand je pleure tu t’ennuies
Mais où est dont cette force?
Qu’on t’envie, qu’on te lit
Sous des chênes sans écorces
L’hiver te sourit
Et cette fin prolongée
D’un avenir qui prédit
Q’un enfant aujourd’hui
Espère, puis s’y réfugie