Vous qui êtes partis depuis déjà quelques années,
En ce mardi soir, je vous l’écris : vous me manquez !
Dorénavant, je ne vous verrai plus le matin
Quand j’allais ouvrir la porte donnant sur le jardin.
Ce soir, c’est fini. Je ne vous appellerai plus
Car vous tous, séparément, vous avez disparu.
Je n’apercevrai plus aussi vos si chères silhouettes
Quand vous attendiez sur le rebord d’une des fenêtres…
Vous n’êtes pas non plus oubliées mes autres mimis.
Vous êtes là dans mon coeur, à tout jamais. Vous aussi.
Texte écrit par Odile Stonham @ Tous droits réservés
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Bonjour,
Je m'appelle Odile et j'ai soixante-et-un ans. Je vis en Normandie, particulièrement dans le Calvados. Je suis mariée et j'ai deux grands enfants dont l'un m'a donné la joie d'être grand-mère de deux petits bonshommes : Ethan et Alexander.
J'ai commencé à écrire des poèmes à l'âge de seize ans et cela m'a beaucoup plu. Puis, petit à petit, j'ai continué à en faire. Etant sentimentale de nature, cela y a peut-être contribué. je ne sais pas. Mes sujets sont variés. Je les prends comme ils me viennent.
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Puissent tous les oiseaux du monde entonner ce poème comme une ritournelle de retrouvailles !
Merci pour ce partage de souvenirs et d’images émanant d’une personne sage !