Ras le bol, ras la casquette.
Je le sais, je me répète.
Ras le bol, ras la casquette.
Je le crie fort, à tue-tête.
De vous tous, aucune nouvelle.
De vous toutes, aucun e-mail.
Ras le bol, ras la casquette.
Je le crie fort, à tue-tête.
Ras le bol, ras la casquette.
Je le sais, je me répète.
Bientôt mon anniversaire ?
Entre nous, la belle affaire.
Vous allez me le fêter ?
Moi je vous dis “Et après ?”
Ras le bol, ras la casquette.
Je le sais, je me répète.
Ras le bol, ras la casquette.
Je le crie fort, à tue-tête.
Le monde pourrait s’arrêter,
Eh oui, ça peut arriver.
Chez vous, c’est l’indifférence.
Nous n’avons pas eu cette chance
De vous avoir comme famille,
Alors que les années filent…
Ras le bol, ras la casquette.
Je le crie fort, à tue-tête.
Ras le bol, ras la casquette.
Je le sais, je me répète…
Ne jamais perdre espoir, Odile, c’est souvent, au moment où on s’y attend le moins, que l’agréable surprise vient ! Tiens bon !
Amitiés sincères
Je crois que c’est décidément le thème du moment. Malgré tous les messages que j’écris pour rencontrer des personnes dans le cadre d’une immersion professionnelle ( reconversion professionnelle dans l’art thérapie en cours). Je n’ai bien souvent aucune réponse ou des réponses négatives.
Dans le cadre de la famille c’est encore plus décevant. Courage Odile, vous aurez bientôt des nouvelles🙏
Ma petite Odile, ce poème je pourrai l’avoir écrit! courage espérons ,espérons encore! Bonne nuit, bisous Colette