Bruits de mon âme – Marcusoul

Il faisait valoir ce qu’il ne vaut pas. A nouveau une connaissance de l’autre soir dans un vent respectable. Les moyens furent favorables pour valoir ce qu’ il en est réellement. Tel un catalyseur dans son objectivité, les formes de sa conquête naissent par tranche de faux et portion de vrai. LUI, la Famille, ELLE, … Lire plus

La Poésie, moins éclairante que la prose ? (2) – par Frédéric Matteo

La semaine dernière, dans l’article précédent, après avoir raillé – non sans franche gaîté, ni haute pertinence – deux déclarations représentatives des raisons pour lesquelles les philosophes des Lumières crurent bon de plonger l’art poétique à jamais dans un honteux discrédit, j’avais promis de satisfaire ceux qui voulaient être payés de raisons plus sérieuses (à … Lire plus

La Poésie, moins éclairante que la Prose ? – par Frédéric Matteo

La Poésie, à l’inverse de la prose, nuit gravement à la force et à la clarté du discours. C’est l’argument central des philosophes des Lumières contre le discours poétique, ou, du moins, en faveur de la relégation de la Poésie dans le domaine des arts mineurs, où lui reviendrait, comme de droit, la seule fonction … Lire plus

Poésie, quel public espérer ? – par Frédéric Matteo

Poésie, quel public espérer ?  A vrai dire, vouloir que notre Poésie s’adresse à tous, et touche chacun, quand ce ne serait pas seulement de l’épaisse sottise, me paraît être le fait d’une ambition parfaitement monstrueuse, aveugle, pathologique et démesurée. La Poésie d’un Homère, même au sommet de son rayonnement parmi les hommes, n’y parvint point. … Lire plus

La Poésie, domaine de l’Irréel ? – par Frédéric Matteo

Lorsque je soutiens qu’il n’est but plus élevé, à mon sens, pour la Poésie que de traiter du réel, on m’objecte souvent que la poésie, justement, est faite pour apporter du « rêve », et qu’elle doit être le domaine par excellence de la fantasmagorie et de l’imagination.  – Mais enfin, quoi ? A quel titre évoluer dans … Lire plus

La méditation de la philosophie – Fattoum Abidi

La méditation de  la philosophie   La méditation de la philosophie se joint au temps maussade, La raison  est soucieuse et nerveuse, la joie quitte l’estrade Car les jeunes se suicident, ils meurent de faim qui  avale leur vie Ils ne trouvent pas du travail et la mélodie  est triste, Le corbeau a monté sur … Lire plus