Lycan – Patrice Merelle

Les soirs de pleine lune où s’emparait de moi, Un désir animal – sépulcral de ces bois, – Cela me dévorait ; sans répit, sans souffrir, Je devenais l’être d’un ancien souvenir.   Me voilà crocs perçants chassant les jeunes femmes, Dans le désir de leur cœur, d’un secret mordant, A ma chair affamée, m’accrocher à … Lire plus