Cœur logé dans la poitrine
Palpite à la vue des vagues marines
Qui enflent ses rétines et ses narines
Il regarde les rivages heureux
Il ressent leurs accueils chaleureux
Il en est tout simplement amoureux
Il en est follement langoureux
Ô mer j’adore la voix de ton mugissement
Ô mer ton flux et reflux me sont ravissement
Ô mer te respirer est grand épanouissement
Cœur laboure le rivage de la mer
Cœur galope mille chimères
L’amour s’y condense en polymères
Cet amour n’est pas éphémère
© Ilef Smaoui – 03/02/2018