Soupir, souvent je ne peux m’en empêcher,
quand je pense à toi, il m’arrive de soupirer,
quand mon cœur s’enflamme
Et que le manque me fait tressaillir.
Soupir de tristesse,
du destin qui nous marque,
du temps qui passe,
et des cœurs qui saignent.
Soupir de joie,
quand à de rares moments,
on se retrouve
et que l’amour ressurgit.
Soupir de mélancolie,
quand seul sans toi,
Je pense à nos moments
où la fusion fut intense.
Depuis quelques temps,
de la première fois qu’on s’est vus,
j’en ai poussé des soupirs
dus à l’éloignement.
Soupirs de tendresse,
quand nos corps s’enlacent,
se fondent en un seul
pour ne plus être qu’amour.
Sans doute un jour,
Nous ne nous reverrons plus,
mais tu resteras dans ma mémoire,
jusqu’à mon dernier soupir
Illustration : Nathalie Nathalie Sabine La Muse
Texte : Eric de la Brume
Le 24 septembre 2017