À ton âge avancé, le poids des jours oppresse,
Un ténébreux nimbus vient voiler ton destin,
Ton âme est orpheline et transie de chagrin,
Et dans l’affliction, tu éprouves tristesse.
Toujours elle a été ton havre de sagesse,
Un phare nitescent éclairant ton chemin.
Désormais qu’elle n’est plus, s’est creusé un ravin
Entre bonheurs passés et trépas qui agresse.
Enrobé par le deuil, même tu te souviens
De l’amour partagé, de ces sentiers anciens
Que vous avez foulé ensemble sur la terre.
Désormais, quand la nuit de son linceul te vêt,
Son esprit bienfaisant murmure à ton chevet,
Et t’enveloppe ainsi d’une infinie prière.
Tu deviens notre spécialiste du deuil à l’approche de la Toussaint et on en demeure sonnés avec tes sonnets si bien envoyés !
Bonjour Robert,
Tu décris la Condition Humaine
Qu’il nous faut endurer.
La Vie est tout,
Sauf “un long fleuve tranquille.”
Nous connaissons, tous,
Des pertes cruelles,
Il nous faut les accepter,
Et, cela nous coûte beaucoup.
Gardons, malgré nos rudes épreuves,
Aussi difficiles soient-elles,
L’espérance.
Cordialement.
G.L.
L’autre part et l’autre reste.
Ne s’efface son souvenir
Que sa mémoire vient nourrir.
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LMA.
Merci pour ce beau partage.
Un être cher demeure un trésor, qu’il soit vivant ou qu’il soit mort ! Merci pour ce témoignage !