Pour Patou – Lucienne Maville-Anku

Je me dis aussi
Qui
Qui pourra jamais l’éteindre
Ce chant
Ce chant qui est en nous
Ce chant-feu qui brûle
Ce feu d’un chant qui jamais
En nous ne se consume
Et qui nous consume
Sans jamais qu’il ne nous brûle
Qui pourra l’éteindre
Qui ou quoi
Il est allumé
Ce chant du Poète
Son chant à Lui
En nous pour Lui
N’est-ce pas.
Et IL brûle
Patou, IL brûle

©L.Maville-Anku, pour Patou,
19/05/20, 13:07

Nombre de Vues:

18 vues
Lucienne Maville-Anku

Lucienne Maville-Anku (799)

"C'est en écrivant que j'apprends à écrire."
Je suis originaire de la Martinique, une des charmantes petites iles de la Caraïbe, et vis au Royaume-Uni.
J'écris depuis de nombreuses années, et ce sont les autres, dans un premier temps, qui par leurs nombreux encouragements et appréciations a la lecture de mes textes m'ont aidée à prendre conscience que j'avais des talents à valoriser.
Ce désir d'écrire et de mieux écrire qui niche en moi depuis l'âge de 15 ans n'a jamais cessé d'aller croissant. Aussi, j’expérimente que c'est le fer qui aiguise le fer, et que plus j'écris, plus je désire écrire, et apprends de la sorte à écrire en autodidacte, par le soupir, par le désir, comme un feu qui s'attise.
La Poésie elle-même m'enseigne, j'apprends d'elle et découvre plus de sa beauté et sa diversité en lisant et en appréciant ce que d'autres écrivent et expriment, notamment sur cette plateforme, terrain de partage et d'expérimentations où foisonnent tant de talents qui m'émerveillent. C'est une vraie galerie d'arts uniques.
J'écris et développe cet art d'écrire en cultivant ma relation avec la Poésie, 'bon pédagogue’ qui m'instruit et m'éduque, et l'écriture elle-même qui comporte aussi des vertus thérapeutiques contribue à mon développement personnel. Cependant, j'ai souvent désiré participer à des programmes de formation pour parfaire mes talents et la stylistique.
J'ai compilé déjà plusieurs recueils de textes poétiques que je souhaite "dé-confiner" pour les mettre à profit, partant du principe que ce que l'on partage, on le gagne, et ce que l'on garde, l'épargnant à l'excès, on le perd.

S'abonner
Me notifier pour :
guest

3 Commentaires
Commentaires en ligne
Voir tous les commentaires
Invité
22 mai 2020 7 h 37 min

C’est le feu du Phénix qui conduit à la renaissance.

Invité
21 mai 2020 13 h 34 min

Merci beau et touchant partage.

Brahim Boumedien
Membre
20 mai 2020 15 h 28 min

Merci pour ce partage !