Aux demain sans lendemain
Qui jamais plus ne se succéderont
Sur les fosses que l’on dit de purin
J’en étire le râle du moribond.
Infect sacerdoce embouti de merde
Que l’on étend sur les parures du savoir
Pour ceux qui n’ont rien d’autre à perdre
Que leurs merdeux promontoires.
Succession d’abrasifs contaminés
Par les armes des alchimistes
Se joint aux innombrables parasites
Le boucan des sortilèges ensorcelés.
Soutane des pétroliers perforés
Par les dollars de l’aigle automate
Se creuse à demi étoilée
La vigile d’un cigle paranoïaque.
Bien écrit quoique très étron-tant ! Merci pour ce partage.