Certaines personnes éveillent la poésie en nous. Ce texte est un hommage à celle qui inspire mes mots et guide ma plume.
Sylvain Florent

Muse, mon égérie, mienne,
Tu m’inspires à perdre haleine.
J’écris des vers
À la Baudelaire.
Tu n’es pas une beauté,
Mais celle de bonté,
De me permettre de créer des proses.
Ces vers, par toi je les compose.
Toi ! Muse, mon essence,
Je te dis toute ma reconnaissance.
Sylvain Florent