Celles des nôtres qui les avez ravit
Et les autres, pourquoi sont-ils partis
Apparemment pour construire leur petit nid
Vous les fées de cette maison
Les perles de votre prison
Vous n’étiez pas dans l’´abandon
Mais plutôt dans le pardon
Vous supportez même nos enfants
Qui sont les vôtres également
Lorsque nous démissionnons
Vous prenez la relève
Quand nous les délaissons
Ils deviennent vos élèves
Si Maman vous tourmente
Jamais vous ne serez transparentes
Si papa vous réclame
Vois lui donneriez votre âme
Comment vous remercier?
Vous œuvrez déjà tellement fort
Un milliard de merci ne suffirait pas à tous vos efforts
Vous êtes mes sœurs
Faites chaud au cœur
Vous m’epargnez
Me rassurez
Vous avez mis votre vie entre parenthèse
Pour que la famille soit à l’aise
Que Dieu vous donne votre récompense
De moi, vous avez plus qu’une reconnaissance
Je vous aime à en pleurer
Je vous aime vous mes fées
Et si je vois papa qui sourit
Vous enfants du Paradis
A mes sœurs que j’aime tendrement. Et qui me font aujourd’hui l’ honneur de s’occuper de nos père et mère ; un travail que je suis incapable d’exécuter aussi bien qu’elles.
Merci mes sœurs. Je vous aime
Drifa.