Mémoire qui reste figée tel le rocher fidèle à l’océan qui le fracasse.
Lune pleureuse témoignant de ses égards, oubliant ses cycles lunaires qui l’emprisonne.
Un tapis de lumière posé sur l’océan, une porte ouverte sur les rêves des poètes, porte close pour les communs.
Le temps que nous ignorons, le temps ignoré qui glisse telle la mémoire confuse.
Le sommeil qui prend acte et s’introduit dans les rêveurs aux douces pensées, les poings libérés vers le ciel,
Acte libérateur pour la colombe qui se dirige vers la lune pour la remercier.
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