On parle de guerre et de haine,
Qui nous révolte tout de même.
Injustice et pauvreté
La note est bien salée.
Ceux qui souffrent,
Ceux dans un gouffre…
La maladie, la dépendance
Et son monde de l’errance..
Il y a la haine et la violence.
Mais que dire de l’indifférence ?
Un cœur glacé sans amour
Qui se sert sans détour
Qui tue par désamour.
Sans scrupule, ni tendresse
Pour lui rien ne presse,
Sinon son intérêt.
Il ne s’est pas aimé.
Il y a des violences,
Qui tuent dans le silence
Anne-Marie
Certains m'appellent la muse du Luberon.....
Je suis Anne-Marie, j'aime tout ce qui est artistique, musique, théâtre, poésie, chant.
J'aime m'amuser avec les mots, les faire danser, leur faire exprimer mes valeurs, ma foi, parfois mes doutes ou mes craintes...souvent ma joie, mon émerveillement, ma reconnaissance. Les poèmes sombres et noirs restent dans leur recueil !
j'ai la grande joie de faire partie du groupe de plume de poètes.
Les poèmes sont tristes lorsqu'ils sont enfermés dans un livre !
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L’indifférence est la plus discrète des armes de destruction massive. Aucune polarité en elle. Elle vaut zéro et son carré encore zéro. Elle se cache entre amour et haine et s’habille aux couleurs de nos habitudes pour mieux se fondre dans le décor de la misère côtoyée ! Bravo et merci, chère Anne-Marie, de lui avoir rendu sa visibilité !
“Il y a des violences,
Qui tuent dans le silence” : C’est ce que l’on constate malheureusement ! Merci pour cette vérité devant la triste indifférence !