Les jours qui passèrent…
De tes lèvres que j’embrassais
À n’en plus finir ma bien aimée,
Doux baisers que je déposais,
Chaque soir, ainsi à tes pieds,Se rappellent, à mes chairs,
Une si bien étrange prière
Que dès lors pour se distraire
Contions en notre sanctuaire,C’est celle de l’amour éternel.
Rappelle toi ma douce demoiselle
De cette demeure notre chapelle
Ou tu reviendras déposer tes ailes.Rappelle toi ma tendre orientale
De toutes nos caresses nuptiales,
Illégales, tendres mais impériales
Qui te rendaient si monumentale.Le temps qui passe douce reine,
Ruisselle dans nos même veines
Et n’efface que nos seules peines
Mon algérienne ma bohémienne.Aux souvenirs qui nous demeurent,
Le soleil qui éclaire nos cœurs,
Nous rappelle de sa folle candeur
Que je fus ton unique empereurNous rappelle à nos âmes unies
Qu’à jamais pour toutes nos nuits
Que chaque jour comme aujourd’hui
Tu resteras ma folle et unique envie
TPV
NS????
Tellement beau, qu’il n’y a aucun commentaire qui pourrait lui rendre hommage. Alors, mon silence sera de cathédrale….
Merci Anne
Quel belle déclaration, d’amour et d’amant!
Je trouve vos mots d’une très belle justesse, comme si à travers votre écrit je pouvais ressentir à l’exactitude votre ressenti.
Faire un transfert avec ma propre histoire, les lettres et vos mots résonnent à l’identique dans mon esprit.
Je les reçois et les comprend avec la même émotion que lorsque vous les avez écrits.
Bref je divague un peu, peut être je tenais juste à vous signalez que j’ai eu un vrai coup de cœur pour votre poème.
Sans doute puisque ça me parle beaucoup aussi, le mélange de l’amour sur fond de passion unique.
Bonne journée et aux plaisirs de vous lire dans de prochains écrits.
merci Lucie